Les pyramides de Gizeh et la route, Noir et Blanc, 2008.
Lors d’un voyage professionnel d’une journée au Caire, lié à mon activité Cinéma, j’ai pu m’échapper 2 heures et foncer sur le site de Gizeh.
Envahi de touristes, harcelé par les vendeurs de babioles et les propositions de monter sur un dromadaire, pas facile d’avoir un peu de sérénité pour contempler « ces quarante siècles » !
« Quant aux pyramides, elles ne présentent aucun motif d’émerveillement si ce n’est le fait qu’un si grand nombre d’hommes aient pu se trouver avilis au point de sacrifier leur vie à la construction d’un tombeau de quelque lunatique qu’il eut été plus sage et plus courageux de noyer dans le Nil… » Henry David Thoreau
De retour au centre du Caire, impossible à un endroit de traverser à pied une 5 voies à sens unique longeant le Nil.
Un policier (armé d’un fusil) propose de l’aide et bloque les voies de circulation.
Une fois arrivé de l’autre côté, il me réclame un bakchish !
Je lui ai refusé, mais en le remerciant tout de même…