Lors d’un voyage professionnel d’une journée au Caire, j’ai pu m’échapper 2 heures et foncer sur le site de Gizeh. Envahi de touristes, harcelé par les vendeurs de babioles et les propositions de monter sur un dromadaire, pas facile d’avoir un peu de sérénité pour contempler « ces quarante siècles » !