<\/i>voir les images du jour…<\/em><\/a><\/span><\/p>\n <\/i>voir la carte des photos du jour…<\/em><\/a><\/span><\/p>\n Lever 8h, ciel couvert, temp\u00e9rature 7\u00b0.<\/p>\n Les pistes de l\u2019int\u00e9rieur restent ferm\u00e9es. Il semble que ce soit un peu exceptionnel cette ann\u00e9e, en raison d\u2019un hiver qui s\u2019est attard\u00e9. La moyenne saisonni\u00e8re des temp\u00e9ratures est normalement de 12\u00b0, or depuis notre arriv\u00e9e, nous avons plut\u00f4t 6\u00b0. La neige est presque partout pr\u00e9sente sur les massifs, et d\u00e8s qu\u2019on monte en altitude, des n\u00e9v\u00e9s restent visibles sur le bord des routes. Les services qui g\u00e8rent le syst\u00e8me routier attendent que les pistes se drainent pour les d\u00e9clarer ouvertes. Apr\u00e8s la fonte des neiges, ouvrir les pistes trop t\u00f4t, risquent de les endommager, les 4×4 creusant le sol boueux.<\/p>\n Dans le camping, nous rencontrons un couple de fran\u00e7ais qui voyagent avec un Defender 130 \u00e9quip\u00e9 d\u2019une superbe cellule camping-car \u00ab\u00a0fabrication maison\u00a0\u00bb. Ils sont l\u00e0 depuis fin mai, pour plusieurs mois, et nous racontent les difficult\u00e9s rencontr\u00e9es par rapport aux pistes encore ferm\u00e9es. Ils ont os\u00e9 aller sur quelques pistes malgr\u00e9 leur \u00e9tat et bien failli y rester\u00a0coinc\u00e9s. Si lui minimise l’aventure, elle, avoue sa fatigue et son \u00e9tat de stress, amplifi\u00e9 par le climat particuli\u00e8rement glacial cette ann\u00e9e.<\/p>\n Au point de notre parcours, il faut d\u00e9cider de la suite. Rejoindre la F35<\/a> pour nous diriger vers le sud semble pr\u00e9matur\u00e9, nous d\u00e9cidons de temporiser et d\u2019en profiter pour faire une incursion dans les fjords de l\u2019ouest<\/a>.\u200b<\/p>\n La belle salle commune du camping nous permet d’\u00e9taler cartes et guides et d\u00e9cider de la suite. Option prise pour la direction des falaises de Latrabjarg<\/a>.<\/p>\n L\u2019examen de tout \u00e7a a pris la matin\u00e9e et c\u2019est donc assez tard que nous partons. La 72<\/a> rejoint la 1<\/a>, qui suit un temps la c\u00f4te. La 59<\/a> \u00e0 gauche traverse les terres par l\u2019int\u00e9rieur. Et remont\u00e9e, de nouveau vers le Nord, par la 60<\/a>.<\/p>\n La route suit une vall\u00e9e encadr\u00e9e de petites montagnes et \u00e7a ruisselle de partout, formant \u00e7a et l\u00e0 des \u00ab\u00a0petites\u00a0\u00bb cascades, non r\u00e9f\u00e9renc\u00e9es sur les guides. En Islande, en dehors des plus c\u00e9l\u00e8bres, il y a une pl\u00e9thore de cascades, qui, en cette saison, o\u00f9 la neige fond, alimentent les rivi\u00e8res.<\/p>\n C\u2019est lors d\u2019un de nos arr\u00eats que nous retrouvons Charly<\/strong> avec sa moto. Lui aussi se dirige vers Latrabjarg<\/a>.<\/p>\n