Fjallsarlon<\/a>,\u00a0beaucoup moins fr\u00e9quent\u00e9, j’y serai seul pendant plus de 2 heures.\u00a0 Ce lac est int\u00e9ressant, la langue glaciaire y d\u00e9verse son lot d’icebergs, mais la petite rivi\u00e8re qui m\u00e8ne \u00e0 la mer n’a qu’un faible d\u00e9bit, les blocs y sont prisonniers.\u00a0La surface est encore plus calme qu’au Jokulsarlon et la langue glaciaire s’y refl\u00e8te parfaitement.<\/p>\nPensant avoir \u00e9puis\u00e9 un peu le sujet, la lumi\u00e8re ne changeant pas, je repars vers Jokulsarlon, c\u00f4t\u00e9 plage cette fois-ci.
\nLe sable noir est constell\u00e9 des traces des flots de touristes qui sont pass\u00e9s.
\nPendant que je marche, deux Hummers foncent le plus loin possible sur la plage, zappant le parking et d\u00e9barquent une douzaine de \u00ab\u00a0photographes\u00a0\u00bb qui restent agglutin\u00e9s autour des m\u00eames blocs de glace. Ils doivent avoir des difficult\u00e9s pour prendre des photos sans avoir un de leur \u00ab\u00a0coll\u00e8gue\u00a0\u00bb dans le champ\u2026Je fuis et j’essaie de m’isoler.<\/p>\n
Je d\u00e9couvre un magnifique iceberg \u00e9chou\u00e9 sur la plage, avec de belles transparences, il doit bien faire 3 m\u00e8tres de large, les vagues viennent mourir autour. Poses longues, pour capter les sillons du flux et du reflux marqu\u00e9s par les petits galets noirs brillants.<\/p>\n
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les images du jour<\/em><\/h3>\n\n\n